Par
Philclab dans
L'Énergie le
21 Mai 2008 à 03:32
Mes tristes illusions se tarissent en cette période pour le moins troublante. Berné par l'idée qu'il ne s'agit peut-être que du trois cent quatre-vingt-dix-neuvième des quatre-cent coups que ma folle jeunesse est sur le point d'achever, je chemine dans l'analogie anachronique d'une existence à dépuceler. Toujours la foutue sensation de manquer de liberté, de vouloir tester les limites de ma captivité. Et pourtant, rien ne manque plus à mon coeur indomptable que ses années où il rêvait d'être domestiqué.
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